On peut donner la consigne suivante : faire deux premières parties (à 2, 3 ou 4 personnes). Durant la première partie, le fait de ne pas se souvenir d’une lettre n’a pas d’incidence sur l’avancement du pion. Seul le dé fait la progression. Durant la seconde partie, en revanche, si un joueur ne se souvient pas d’une lettre, il reste à sa place. Mais il vérifie la lettre pour la fois suivante.
Mettez les lettres dans le désordre et piochez-les pour les lire. Vérifiez au dos.
Mettez les syllabes dans le désordre et piochez-les. Vérifiez.
Tirez une image de verbe puis un pronom personnel et conjuguez.
Cette activité pourra être faite à l’inaccompli, à l’accompli, au subjonctif, à l’impératif, etc.
Cette activité peut être faite à la fin de nombreuses leçons.
Commencez par former des phrases simples en rapport avec la leçon. Puis on ajoute des éléments pour rendre les phrases plus complexes. Les élèves lisent leurs phrases aux autres.
Autre usage possible : Demander aux élèves de former une phrase de deux mots ; puis de trois mots ; puis de quatre mots ; etc.
Les flashcards pourront être utilisées par les enseignants de mille façons. Voici quelques exemples :
Par petit groupe. On apprend les mots, puis on demande par exemple « Montre le raisin du doigt » !
Le plus rapide à pointer le raisin a gagné.
On construit des annexions (Iḍâfa ), puis des phrases comportant des annexions.
On donne à chaque groupe une ou plusieurs flashcards et on leur demande de former des phrases contenant les mots.
On peut prendre par exemple un chameau et un palmier dans les cartes et on dit : « Ceci est un chameau ». « Ceci est un palmier ». « Le chameau est devant le palmier. » On présente ainsi les directions au fur et à mesure en demandant à chaque fois : « où est le … ? » On demande également : « le chameau est-il à droite du… » afin de réviser la négation avec laysa. Les élèves font ensuite le même exercice par deux ou trois.
On place des lieux et des personnages sur la table. On fait évoluer les personnages et on décrit l’action. L’homme sort de la maison » ; « L’homme va au restaurant » ; « il entre dans le restaurant » ; etc.
On fait de nouveau une action et on demande ensuite aux élèves de décrire l’action.
Les élèves se mettent ensuite par deux ou plus.
On peut ensuite refaire l’exercice à la première personne et à la deuxième personne en s’associant à un personnage. Exemple : « Je vais au restaurant… »
L’enseignant place devant lui des objets, des produits alimentaires ou de la maison. Les élèves choisissent des achats et passent devant le vendeur (le professeur), et lui disent « je veux ceci (ou j’ai besoin de) ceci et ceci, s’il vous plaît ». Le vendeur leur tend l’objet en disant َّضلَ فَت ou une autre formule semblable. Deuxième étape : (par groupe de 2 ou 3) chaque élève devient vendeur ou client.
Par groupe de deux, on retourne des images d’objets en faisant un tas. Chacun son tour, on pioche une carte et dit « ceci est mon… .» Une fois toutes les cartes prises, on les échange en disant « ceci est ton …».
On place l’image de l’homme et l’image de la femme devant. Chacun son tour, donne les objets à l’homme et à la femme en disant « ceci est son… ». On ajoute un ou deux objets de lieu. Ils sont les « Jokers ». Lorsqu’on les pioche, on dit par exemple « c’est notre école ».
On peut refaire l’exercice au duel et au pluriel.
On place plusieurs cartes sur la table, puis on demande aux élèves de fermer les yeux. Nous retirons une carte et on demande laquelle manque.
On commence à poser trois cartes sur la table, puis on les cache et on demande aux élèves de dire quelles sont les mots. On recommence avec 4 cartes, puis 5, etc.
On place des cartes d’animaux, de fruit, d’objets et de lieu par exemple.
On fait deux groupes et on demande aux deux groupes de retenir un maximum de mots de chaque série. On fait l’exercice une première fois sans stratégie. Le groupe qui connaît le plus de mots gagne. On refait le jeu en laissant les groupes préparer une stratégie.
Par groupe ou individuellement, on pose des cartes et on les mémorise. On demande ensuite aux élèves un mot qui commence par la lettre mim par exemple, puis une autre lettre, etc. On ajoute ensuite des cartes.
On présente par exemple 12 flashcards. Chaque élève se fabrique une grille à six cases et écrit le nom d’une flashcard dans chaque case. On mélange les cartes et on les tire une par une en disant le nom. Les élèves écoutent et marquent une croix lorsqu’ils ont le mot appelé. On en profite à chaque fois pour vérifier que chacun connait le sens du mot. Le premier qui a fini sa grille a gagné.
On recommence avec d’autres mots plus nombreux.
On fait deux groupes et on donne à chaque élève un ou plusieurs mots (selon la taille des groupes). Tous en même temps, les élèves montrent leurs cartes à l’équipe d’en face. On demande aux élèves de chaque équipe de dire les mots qu’ils ont retenus. On change ensuite les groupes et les propriétaires des cartes et on refait l’exercice.
L’enseignant reprend toutes les cartes et vérifie que les élèves connaissent les mots. « Comment dit-on palmier en arabe ».
On prend des cartes d’animaux et des cartes d’objets. Les élèvent prennent un certain temps pour les apprendre. On prononce ensuite un mot et on demande si c’est un animal ou un objet.
On prépare des caches pour dissimuler les mots sous les images. On écrit les mots correspondant aux cartes sur des morceaux de feuille. On présente les cartes et on laisse un certain temps pour les mémoriser. On cache ensuite les mots des Flashcards et on les mélange.
Les élèves doivent associer les mots avec les images.